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mercredi 3 août 2011

Nombril : la mère reconnaît l'odeur de son enfant


Selon une étude très sérieuse, nous avons sur le corps, au niveau du nombril plus de 1400 germes de bactéries. Ce sont les scientifiques de l’Université de Caroline du Nord qui le disent dans leurs recherches issues du Belly Button Biodiversity Project 95 prélèvements sur des individus différents ont eu lieu sur une infime partie des éléments qui se trouvaient dans leur nombril. De ces prélèvements, les scientifiques ont pu localiser jusqu’à 1400 bactéries diverses et variées, dont certains germes ne permettant de mettre en évidence l’ADN 662, ce qui veut dire plus vulgairement que ces souches sont tout simplement inconnues des scientifiques.


Ces bactéries produiraient également des odeurs particulières qui modifient la façon dont les êtres humains se comportent. Ces odeurs serviraient, par exemple, à nous reconnaître ou nous distinguer les uns les autres. Ce serait grâce à elles que les mères reconnaissent l’odeur de leur bébé.
Non seulement, le nombre de bactéries ne dépend pas de l’hygiène, mais ces bactéries jouent un rôle encore plus important encore que celui de la reconnaissance : elle nous aide à lutter contre les agents pathogènes. Selon le Dr Dunn, assistant au Département de Biologie de l’Université de Caroline du Nord : «Ces bactéries sont des partenaires plus intimes que vos compagnons, vos enfants, ou n’importe quel autre organisme vivant ».



Le nombril qui est ausi au centre d'une autre polémique. Adrian Bejan, professeur à l'Université de Duke, en Caroline du Sud, pense avoir trouvé la clef de ces mystères qui titillent de façon plus ou moins avouée les amateurs de sport. (eurosport.fr)
C'est le nombril de chacun qui décide de tout. Et plus précisément sa position, qui désigne le centre de gravité de chaque athlète. Si deux coureurs ou deux nageurs de la même taille, un Noir et un Blanc, sont comparés, "leur taille importe peu, mais la position de leur nombril ou centre de gravité du corps fait la différence", confirme l'auteur de l'étude, parue dans l'International Journal of Design and Nature and Ecodynamics.  Leur nombril se situe trois centimètres plus haut que chez les Blancs. Cette différence confère aux athlètes noirs "un avantage caché de taille" de 3% sur les Blancs qui se traduit par un gain de vitesse sur la piste. "La locomotion est essentiellement un processus continuel de chute vers l'avant, et une masse tombant de plus haut, tombe plus vite", ajoute le chercheur.
Les Blancs peuvent se venger dans la piscine. Ils ont l'avantage car ils ont un torse plus long que ceux des Noirs africains, ce qui implique que leur nombril est plus bas. "Nager est l'art de surfer la vague que crée le nageur, explique Adrian Bejan. Le nageur qui fait la plus grosse vague avance le plus vite et plus son torse est long plus la vague est importante". Or, poursuit-il, "les Européens ont un torse en moyenne 3% plus long que celui des Noirs d'Afrique de l'Ouest ce qui leur confère un avantage de vitesse de 1,5% dans une piscine". Et les Asiatiques? Ils ont des torses aussi longs que les Européens mais ils sont moins grands. Ils perdent ainsi cet avantage de vitesse. (eurosport.fr)

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