David Klatzmann est un chercheur élégant. Et il l’est à tout point de vue, bien connu pour ses magnifiques chemises comme pour son talent d’immunologiste. Au tout début des années 80, il avait été de l’équipe qui allait isoler le virus du sida, avant de montrer comment ce satané virus s’attaquait aux cellules de l’immunité, les fameuses CD4. Trente ans plus tard, le voilà de nouveau en pointe, avec un large sourire : «C’est génial, je ne plaisante pas, c’est une révolution thérapeutique.» (Source : libération.fr)
La semaine dernière, il a publié dans la très prestigieuse revue The New England Journal of Medicine un article qui fait sensation sur le traitement des maladies auto-immunes. Qu’est-ce qu’une maladie auto-immune ? Ce sont des affections fréquentes que l’on définit par une autodestruction de tissus pourtant sains. L’organisme se mettant à fabriquer des cellules et des anticorps contre ses propres composants. C’est le cas du diabète de type 1 où les cellules du pancréas sont progressivement détruites, ou encore de la sclérose en plaques due à une autodestruction des gaines de myéline.
«L’histoire commence en 1995, nous raconte David Klatzmann, quand un scientifique japonais découvre un nouveau type de globules blancs, les lymphocytes T régulateurs, dont l’absence semble provoquer des maladies auto-immunes chez la souris.» Voyant cela, David Klatzmann généralise. Et fait l’hypothèse qu’une grande partie des maladies auto-immunes pourraient être caractérisées par des mécanismes immunologiques communs, et notamment une insuffisance de ces lymphocytes T régulateurs. Il se dit qu’un traitement par un médicament, l’interleukine-2, pourrait normaliser ces lymphocytes. D’autant que d’autres chercheurs ont noté que des souris dénuées du gène de l’interleukine-2 souffraient, elles aussi, de maladies auto-immunes. Et si tout se tenait ? En 2004, David Klatzmann montre que les patients souffrant d’une forme rare de vascularité auto-immune associée à l’hépatite C présentent un déficit en T régulateurs. Peut-on faire régresser, alors, la vascularité chez les malades atteints d’hépatite C résistante aux antiviraux, en augmentant les T régulateurs ?
Un essai est lancé : 10 malades atteints de la vascularité liée à l’hépatite C vont être traités grâce à des petites doses d’interleukine-2. Le résultat ? «Génial, époustouflant !» lâche David Klatzmann. «Chez tous les malades, on a assisté à une remontée spectaculaire des T régulateurs. Tous les malades sans exception ont répondu au traitement. Aucun effet secondaire notable n’a été observé.» Et il insiste : «Si nous sommes si enthousiastes, c’est surtout parce que nos travaux ouvrent une voie thérapeutique prometteuse dans toutes les maladies auto-immunes.» Et il vient de lancer un essai sur le diabète de type 1. Résultats au printemps 2012.(Source : libération.fr)
Indépendamment des thérapies de dépôt injectables orales ou futures, elles nécessitent des visites médicales afin de prendre des médicaments et de surveiller la sécurité et l’intervention. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans que le système immunitaire du corps ne le détecte. Par conséquent, même lorsque le traitement antirétroviral bloque complètement les cycles d'infection ultérieurs de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» pourrait signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer du poumon, du cancer du sein, du psoriasis, du cancer colo-rectal, du cancer du sang, du cancer de la prostate, de siva.Facteur familial de facteur V de Leiden, de l'épilepsie, de la maladie de Dupuytren, tumeur non circulaire à cellules, maladie cœliaque, maladie de Creutzfeldt – Jakob, angiopathie amyloïde cérébrale, ataxie, arthrite, scoliose latérale amyotrophique, tumeur cérébrale, fibromyalgie, toxicité de la fluoroquinolone
RépondreSupprimerSyndrome Fibrodysplasie osseuse ProgrèsSclérose, maladie d'Alzheimer, carcinome corticosurrénalien Mononucléose infectieuse. .Asthme, Maladies allergiques.Hiv_Aids, Herpe, Copd, Glaucome., Cataractes, Dégénérescence maculaire, Maladie cardiovasculaire, Maladie du poumon.Augmentation de la prostate, Ostéoporose.Alzheimer,
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