A votre santé !

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Nous répondons à toutes vos questions sur la santé des femmes

vendredi 30 septembre 2011

Pertes vaginales : faut-il s’inquiéter ?

Les femmes ne réagissent pas assez vite face aux mauvaises odeurs vaginales, qui sont souvent signe d’inflammation ou de perturbations de la flore vaginale. Un grand nombre d’entre elles (76%) pensent à tort que les odeurs vaginales désagréables sont la conséquence d’un manque d’hygiène intime. Cette idée est est partagée par 73% des hommes belges comme en témoigne une enquête effectuée à la demande de Bersac parmi la population belge. (source : vivat.be)Au cours du cycle menstruel, le corps produit diverses sécrétions vaginales. Si la plupart sont normales, il peut arriver qu’elles résultent d’une infection. Mais comment distinguer les pertes inquiétantes des sécrétions naturelles ?La plupart du temps, les « pertes vaginales » translucides, blanchâtres ou opaques sont des pertes de mucus, substance sécrétée par le système génital féminin (au niveau des glandes du col de l’utérus, du vagin ou de la vulve). Elles sont tout à fait normales et même essentielles, puisqu’elles assurent la lubrification et l’équilibre du milieu vaginal.
Ces sécrétions (aussi appelées glaire) augmentent dès la puberté et sont influencées par les variations hormonales. Ainsi, elles sont surtout marquées pendant les quinze premiers jours du cycle et leur production est plus importante en cas de stimulation sexuelle. En revanche, elles sont moins abondantes lors des deux dernières semaines du cycle ou en cas de prise de pilule. La glaire peut alors devenir blanchâtre, voire opaque, ce qui n’a rien d’inquiétant.

Par contre, lorsque la glaire est accompagnée d’irritation, de chatouillement, de démangeaison, de rougeur, de « cuisson » ou encore de rougeur vulvaire, mieux vaut consulter sans tarder. Ces symptômes – que le partenaire peut également ressentir - traduisent souvent une mycose (infection à champignons). Très désagréable, elle n’en est pas moins bénigne et habituellement facile à traiter.
Par ailleurs, n’hésitez pas à passer chez votre médecin lorsque les pertes sont malodorantes, irritantes, grisâtres ou verdâtres et accompagnées ou non d’un peu de sang. Dans ce cas, il pourrait en effet s’agir d’une infection du col et du vagin qui, non traitée, peut « remonter » dans l’utérus et les trompes et même atteindre le péritoine. Outre la douleur et la fièvre, les complications qui en découlent peuvent être graves : infertilité, grossesse tubaire, douleurs gynécologiques chroniques persistantes, …
Afin d’enrayer la progression de l’infection, le médecin pratique un examen soigneux et effectue les prélèvements nécessaires pour l’analyse des germes et leur traitement. Dans certains cas, il exigera aussi une prise de sang, voire d’autres examens si l’infection est « remontante ». Ces infections étant transmises lors de rapports non protégés, il convient impérativement de traiter également le(s) partenaire(s)

jeudi 29 septembre 2011

Etude Alzheimer: 20% des femmes sous tranquilisants

L'abus de tranquillisants et de somnifères durant des années augmenterait le risque d'entrée dans la maladie d'Alzheimer, selon les premiers résultats d'une étude française, dont le responsable appelle à agir pour réduire cette consommation dont les Français restent les champions. Pas loin du tiers des plus de 65 ans consomment des benzodiazépines comme tranquillisants ou comme somnifères, relève le Pr Bernard Bégaud, pharmaco-épidémiologiste (Inserm/université de Bordeaux).

Il faut savoir que cette étude est interpellante lorsqu'on sait que le nombre de Wallonnes sous tranquillisants a doublé en dix ans selon l'enquête de l'Institut de santé publique (ISP) sur la santé des Belges. En Wallonie, une femme sur six (15,8 %) est sous anxiolytiques, alors qu'elles n'étaient à peine que 7,7 % en 1997. Aujourd’hui, en France,12 % des hommes et 20 % des femmes achètent des hypnotiques ou des tranquillisants, ce qui situe la France dans le peloton de tête des pays industrialisés.

Cette étude est donc au centre du quotidien des Belges aussi. Le responsable de cette nouvelle étude, à paraître prochainement dans une revue scientifique et dévoilée par le magazine Sciences et avenir, espère que l''on ne va pas attendre encore quinze ans de continuer à être les champions du monde de la consommation de psychotropes', avant de réagir. D'autant, explique-t-il, que ce n'est pas la première étude qui va dans le sens d'une association entre la consommation au long cours des benzodiazépines et la maladie d'Alzheimer. (source: lemonde.fr)
Chaque année, en France, seize mille à trente et un mille cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines ou apparentés, et leurs génériques : Valium (Roche), Témesta (Biodim), Xanax (Pfizer), Lexomil (Roche), Stilnox (Sanofi), Mogadon (Meda Pharma), Tranxène (Sanofi), etc., écrit le magazine dans son numéro d'octobre. Environ 120 millions de boîtes sont vendues par an. La France consomme cinq à dix fois plus de somnifères ('hypnotiques') et d'anxiolytiques que ses voisins européens, rappelle Sciences et avenir.
'Si en épidémiologie, il est difficile d'établir un lien direct de cause à effet, dès qu'il existe une suspicion, il paraît normal d'agir et d'essayer de limiter les nombreuses prescriptions inutiles', explique le Pr Bégaud. La durée du traitement aussi devraient respecter les règles et ne pas excéder douze semaines, par exemple, pour les anxiolytiques.

Les femmes au café !


Boire du café préserverait de la dépression. C'est la surprenante conclusion d'une étude publiée par la revue scientifique Archives of Internal Medicine. D'après une équipe de la Harvard Medical School, les femmes qui boivent deux tasses de café ou plus par jour ont moins de risques d'être déprimées. Sans pouvoir expliquer réellement les raisons de cet effet, les auteurs estiment que la caféine contenue dans le café pourrait modifier les échanges chimiques dans le cerveau. Loin d'eux, pourtant, l'idée de préconiser hâtivement que les femmes devraient boire plus de café pour se stimuler le moral. (source: lepoint.fr)

De 1996 à 2006, l'humeur de 50 000 infirmières américaines a été décortiquée, et liée à leur consommation de café. Sur les 2 600 femmes qui ont développé une dépression au cours de cette période, la majorité d'entre elles n'étaient pas amatrices de café, ou en buvaient beaucoup moins que les consommateurs fréquents. En les comparant à celles qui buvaient moins d'une tasse de breuvage caféiné par semaine, les chercheurs ont réalisé que celles qui ont consommé deux à trois tasses de café par jour avaient 15 % de risque en moins de développer une dépression. Celles qui ont bu quatre tasses ou plus réduisaient, quant à elles, le risque de 20 %.

Forts de ce constat, les scientifiques ont cherché à savoir si d'autres facteurs pouvaient influer sur ces résultats. Ils ont ainsi constaté que les buveurs de café réguliers étaient également plus souvent fumeurs ou amateurs d'alcool, et étaient moins souvent sujets au surpoids, à l'hypertension artérielle ou au diabète.
Ces résultats vont dans le même sens que d'autres études sur le sujet. Des chercheurs avaient en effet déjà remarqué que les taux de suicide étaient relativement plus faibles chez les buveurs de café. Tous soupçonnent en réalité la caféine d'être l'acteur-clef : connue pour renforcer le sentiment de bien-être et d'énergie, elle a un effet physique sur les fonctions cérébrales en bloquant certains récepteurs chimiques, comme l'adénosine.
Mais les scientifiques disent avoir besoin d'études supplémentaires avant d'affirmer avec certitude qu'ingérer de la caféine éloigne la dépression. Ils confessent eux-mêmes que rien ne dit que l'inverse n'est pas vrai! (source: lepoint.fr)

mercredi 28 septembre 2011

Grossesses stigmatisées au travail

En 2010, l'Institut pour l'égalité entre les femmes et les hommes, l'organisme fédéral compétent pour traiter les discriminations liées au sexe, ont enregistré, via son numéro vert gratuit (0800-12.800), 448 appels téléphoniques. (source: le soir.be)

Au total, 221 dossiers ont été ouverts : 130 plaintes et 91 demandes d'information. Ceux-ci portent en priorité sur l'emploi (99 dossiers), l'offre de biens et services (28), la sécurité sociale (14), l'enseignement et la formation (11)… Dans la majorité des cas, l'Institut a entamé une procédure de conciliation, mais il a également été en justice. « Mais ces plaintes ne sont que la partie visible de l'iceberg », insiste le directeur de l'Institut, Michel Pasteel.
Un cinquième de ces plaintes enregistrées en 2010 (42 dossiers) concerne spécifiquement des discriminations liées à la maternité. Des travailleuses écartées à l'embauche, privées d'une promotion ou licenciée parce qu'elles étaient enceintes.
Là encore, les chiffres de l'IEFH ne sont qu'un reflet partiel de la réalité. En effet, en 2010, ce même organisme avait réalisé une étude scientifique démontrant, notamment qu'une femme enceinte sur deux avait déjà rencontré des problèmes sur son lieu de travail à cause de sa grossesse (recrutement, évolution de carrière, conditions de travail, harcèlement…). Des employeurs qui enfreignent la loi belge sur le travail de 1971 et la loi anti-discrimination de 2007, ainsi que plusieurs dispositions européennes.

mardi 27 septembre 2011

Femme, pouvoir et sexe: mélange difficile !

Un peu de légerté après ces nombreux sujets santé très sérieux. Je vous le dis tout de suite, cette enquête qui n'a pas eu lieu en Europe...souligne que chez les femmes, sexe et pouvoir ne feraient pas bon ménage. Reste à voir ce qu'en pensent les Européennes....et les Européens !
A en croire une récente étude de l’université John Hopkins à Baltimore, publiée par Slate, les femmes dites « dominantes » dans la vie ne font pas des relations sexuelles avec leur partenaire une priorité. Contrairement aux hommes qui peuvent souvent profiter de leur position dominante pour mener une vie sexuelle débridée.
Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont interrogé plusieurs milliers de femmes dans six pays africains (Ghana, Mali, Rwanda, Uganda, Malawi et Zimbabwe) sur la date de leur dernier rapport sexuel et sur la place qu'elles occupent au sein du foyer.
Prend-elle les décisions ? Gère-t-elle les comptes ? En clair, qui de l'homme ou de la femme a le dernier mot au sein du couple ? Et le résultat est sans appel, les femmes qui « portent la culotte » ont jusqu'à 100 fois moins de relations sexuelles avec leur conjoint. « Plus le nombre de décisions que la femme déclare avoir pris est grand, en comparaison du nombre de décisions prises avec le conjoint, moins elle a de relations sexuelles et plus sa dernière relation sexuelle remonte loin dans le temps » explique Michelle Hindin qui a dirigé cette étude. (source: francesoir.fr)
La plupart du temps, cette rareté des rapports sexuels est voulue poursuit l'enquêtrice. Les femmes concernées auraient en effet tendance à emmener leur côté dominateur dans la chambre à coucher. Non pas pour soumettre physiquement leur maris mais pour véritablement décider de la vie sexuelle qu'elle veulent mener, dans les conditions qui leur plaira. Dans les pays concernés, prendre les décisions dans la vie serait ainsi le meilleur garant de ses droits sexuels. Reste maintenant à savoir si le phénomène est similaire à d'autres pays où de plus en plus de femmes occupent des postes à responsabilité dans le monde du travail

Simulateur de grossesse pour hommes pour comprendre les femmes

LA question du jour ! Faut-il se mettre dans la peau des femmes pour les comprendre? Le nouvelobs s'est penché sur la question. Qu'a-t-il découvert? Plusieurs éléments amusants !
Voici un simulateur de grossesse pour hommes (ou pour toute personne non enceinte), créé par des ingénieurs japonais, et censé vous faire comprendre, en quelques minutes, quels sont les effets de 9 mois de gestation.
D'où une interrogation profonde : faut-il que les hommes se mettent, littéralement, à la place des femmes pour comprendre comment leur situation peut être, parfois (oui, je me lance dans les euphémismes), fâcheuse ? Et même si c'était le cas, la condition féminine se résumerait-elle aux diverses productions de notre appareil génital ? (lire la suite sur leplusnouvelobs.com)

lundi 26 septembre 2011

Fracture de la hanche: un risque de mourir !

Les femmes qui se fracturent la hanche entre 65 et 69 ans ont cinq fois plus de risque de mourir dans l'année qui suit que leurs semblables, en raison entre autres des complications post-opératoires, révèle une étude américaine.
Ce risque double pour les femmes âgées de 70 à 79 ans et triple pour les femmes de plus de 80 ans, explique cette étude financée par l'Institut national américain de la Santé et publiée dans les Archives de la médecine interne.
"Cette étude est un appel à la vigilance sur l'année qui suit une fracture de la hanche chez les femmes âgées, et en particulier celles de 65 à 69 ans qui sont confrontées à un risque de mort bien plus élevée que leurs semblables", a expliqué Erin LeBlanc, l'auteur principal de cette étude.
Il y a environ 1,6 million de fractures de la hanche par an, dont 51% en Europe et en Amérique.
Environ la moitié des femmes de plus de 50 ans qui se fracturent un os souffrent d'ostéoporose, selon la Fondation nationale américaine contre l'ostéoporose.
Cette étude financée par l'Institut national de la Santé a porté sur près de 10.000 femmes enrolées entre 1986 et 1988 dans quatre villes américaines pour une étude sur l'ostéoporose.

Au cours des vingt dernières années, 1.116 femmes du groupe se sont cassé la hanche. En fonction de leur âge, les données les concernant ont été comparées à celles de 4.464 autres femmes qui ne s'étaient pas cassé la hanche.
"Parmi celles qui s'étaient cassé la hanche et qui sont mortes dans l'année, plus de la moitié sont mortes dans les trois mois après la fracture et près de trois quart dans les six mois", ont précisé les chercheurs.
Ces chiffres montrent le rôle clé que joue la fracture de la hanche dans la détérioration générale de la santé d'une femme, a expliqué une des co-auteurs de cette recherche.
"Nous avons également réalisé que les trois premiers fois suivant une fracture de la hanche était les plus dangereux, ce qui nous laisse penser que les opérations et l'hospitalisation entraînent des complications qui en fin de compte mènent à la mort", ajoutent les chercheurs.

Perte de poids: prudence avec Alli et Xenical

L'agence française du médicament (Afssaps) met en garde contre "le risque d'atteintes hépatiques rares mais graves" lors d'un traitement pour maigrir par des gélules d'orlistat, substance commercialisée en France sous les noms d'Alli et Xenical.
"Plusieurs cas graves d'atteintes hépatiques ont été rapportés chez des patients traités par orlistat ayant conduit dans certains cas à une transplantation hépatique voire au décès du patient. Le lien de causalité avec l'orlistat reste difficile à établir mais ne peut pas être exclu", souligne l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé dans son avertissement diffusé vendredi sur son site Internet.

ET Chez nous?
Des analyses médicales sont en cours dans plusieurs pays d'Europe, à la suite de la découverte de plusieurs cas suspects liés à des gélules utilisées dans les traitements pour maigrir, a indiqué l'Agence Fédérale des Médicaments et des Produits de Santé (AFMPS), jointe lundi par l'Agence Belga. "Des analyses de cas de lésions graves, peut-être liées aux produits Xenical et Alli, utilisés lors de traitement d'amaigrissement, sont en cours dans différents pays d'Europe. L'Agence Européenne du Médicament (EMA) coordonne ces analyses. Il y a pour l'instant 21 cas suspects liés au Xenical, et 9 liés au Alli", a indiqué la porte-parole de l'AFMPS.
 Les risques d'atteintes hépatiques sont repris dans la notice de ces deux produits, mais certains symptômes graves survenus chez plusieurs patients qui suivaient ce traitement ont poussé les organismes européens à procéder à différentes analyses. "Il faut voir si un lien existe entre les deux produits et les lésions survenues, et estimer si la balance bénéfice/risque reste positive. Dans le cas contraire, plusieurs mesures sont applicables, de la simple mise en garde jusqu'à la suspension. De toute façon, la décision sera prise au niveau européen, car la mise sur le marché des deux produits a été effectuée via une autorisation européenne", a détaillé la porte-parole.    


Pendant ce temps en France
Dans l'attente des résultats d'une réévaluation engagée par l'Agence européenne du médicament (EMA), l'Afssaps "souhaite mettre en garde contre ce risque grave d'atteinte hépatique" et rappelle la "nécessité de respecter strictement les indications de ces deux produits".
Il est recommandé aux médecins et pharmaciens "d'informer les patients sur la possibilité de survenue" d'une atteinte au foie. Quant aux patients, ils doivent "signaler immédiatement à leur médecin tout symptôme d'atteinte hépatique", notamment "une fatigue, un jaunissement de la peau et des yeux, des maux de ventre et une sensibilité du foie".
L'arrêt "immédiat" du traitement par orlistat et la réalisation d'un bilan hépatique sont prescrits si ces symptômes se présentent. Les spécialités Xenical et Alli, utilisées dans le traitement du surpoids et de l'obésité, sont commercialisées en France respectivement depuis 1998 et 2009.
La démarche de perdre du poids "n'est ni anodine ni sans conséquence pour la santé. Elle doit entrer dans le cadre d'une démarche globale, individualisée et s'inscrire sur le long terme sous le contrôle d'un médecin", rappelle l'Afssaps. (source: AP)

dimanche 25 septembre 2011

Estelle: la nouvelle pilule qui protègerait votre santé



Estelle est une nouvelle pilule actuellement en phase de test en Belgique et dans le monde... produite par une société belge. Elle devrait arriver dans les pharmacies belges en 2015. Elle est produite à base d' E4 (Estetrol). Il s'agit d'un oestrogène naturel produit à un taux élevé (plusieurs mg / jour), par le foie fœtal humain. Il est uniquement produit durant la grossesse humaine, avec des niveaux très élevés dans le fœtus et à partir de la neuvième semaine de grossesse.


L’Estetrol inhibe l'ovulation, augmente la densité osseuse et diminue les bouffées de chaleur. L’Estetrol est bioactif sur l'endomètre, l'utérus et le vagin.

vendredi 23 septembre 2011

Cancer du sein: Laurette Onkelinx se dénude

La ministre de la santé, Laurette Onkelinx, s'est dénudée pour la lutte contre le cancer du sein. C'est aujourd'hui que débute la campagne 2011 Pink Ribbon. Ne l'oublions pas, le cancer du sein se guérit de mieux en mieux mais touche encore 1 femme sur 8! (Source: demorgen.be ou rtl.be)

Les femmes préfèrent les voix graves !

La voix possède de nombreux atouts encore inconnus ! Femmes et hommes en usent et abusent d'ailleurs dans leur relation inconsciemment ou non. Les hommes à la voix grave marqueraient plus durablement les femmes que ceux à la voix plus aiguë. C'est l'une des conclusions auxquelles sont parvenus des chercheurs de l'université d'Aberdeen en Écosse. L'information dévoilée dans la revue spécialisée Memory and Cognition pourrait avoir des implications dans la course à la séduction, mais pas seulement... Pour en arriver là, l'équipe de David Smith a soumis une petite centaine de femmes à deux expériences. (source: lepoint.fr)


Dans le premier protocole, 45 femmes ont dû tenter de mémoriser des images d'objets en entendant simultanément prononcer le nom de ceux-ci soit par des voix de femmes soit par des voix d'hommes, toutes modifiées informatiquement. Puis, quelque temps après cette phase de mémorisation, les participantes ont été confrontées à deux images différentes du même objet avec la consigne de sélectionner celle qui leur avait été présentée initialement. Parallèlement, il leur a aussi été demandé de dire quelle voix elles préféraient... Dans la seconde expérience menée avec un autre groupe de personnes, le même principe a été conservé, mais les scientifiques ont simplement utilisé de vraies voix masculines et féminines.
Résultats : dans les deux cas de figure, les femmes ont émis une nette préférence pour les voix masculines les plus graves. Mais elles ont aussi mieux retenu les informations délivrées par celles-ci. Selon les chercheurs, cette sensibilité de la gent féminine à la hauteur des sons serait un résultat de l'évolution. Les femmes auraient acquis la capacité de se souvenir plus précisément d'informations relatives aux hommes perçus comme plus virils, et donc comme de meilleurs partenaires potentiels. Cette acuité leur permettrait notamment de faire plus rapidement des évaluations et des comparaisons entre les mâles disponibles pour leur donner des enfants. (source: lepoint.fr)

jeudi 22 septembre 2011

La bronchiolite touche jusqu’à 6.000 nouveau-nés en Belgique

Chaque année, entre octobre et mars, la bronchiolite touche jusqu’à 6 000 nouveau-nés en Belgique. Bénigne pour la plupart des bébés nés à terme, la bronchiolite, infection des voies respiratoires inférieures la plus courante chez les enfants en bas âge, peut être dangereuse pour les prématurés. La première cause de bronchiolite du nourrisson est le très contagieux virus respiratoire syncytial (VRS). En Europe, le VRS est responsable de 42 à 45% des hospitalisations pour infections de l’appareil respiratoire inférieur chez les enfants de moins de deux ans. La durée du séjour à l’hôpital varie entre 4 et 10 jours. Actuellement, les seuls moyens de protéger les nourrissons à risque contre la bronchiolite due au VRS sont la prévention et l’immunisation passive. Une meilleure protection des prématurés les plus âgés s'avère nécessaire. En effet, à l’heure actuelle, seuls les prématurés les plus jeunes ont accès à l’immunisation passive alors que tous les nourrissons, quelque soit l’âge de la prématurité, courent les mêmes risques en cas d’infection sévère due au VRS.



L'infection par le VRS se manifeste généralement sous forme de rhume bénin à modéré. Toutefois, l’infection peut s’aggraver si elle atteint les voies respiratoires inférieures, y provoquant une inflammation et une sécrétion excessive de mucus. L’encombrement des voies respiratoires qui en découle peut entraîner une grave détresse respiratoire.

Si l’infection par le VRS ne présente aucune gravité pour la plupart des enfants nés à terme et en bonne santé, elle peut entraîner une morbidité importante chez certains nourrissons à risque tels les prématurés, avec à la clé un risque accru d’hospitalisation et de mortalité. De plus, les bronchiolites à VRS graves peuvent déboucher sur une morbidité respiratoire chronique caractérisée par un risque accru de développement d’asthme et de respiration sifflante récurrente.

Plus les femmes bossent plus elles ont des enfants !

Contrairement aux idées reçues, plus les femmes travaillent, plus la fécondité est élevée, expliquent des démographes dans une étude publiée jeudi, qui examine les liens entre naissances et progrès économique dans les pays riches.
"La fécondité (nombre d’enfants par femme en âge de procréer, NDLR) a nettement baissé dans l'ensemble des pays de l'OCDE entre 1960 et 2008 jusqu'à se situer en dessous du seuil de remplacement des générations de 2,1 enfants par femme", écrivent les chercheurs Angela Luci et Olivier Thévenon, de l’Institut national d’études démographiques (Ined).
Toutefois, "on observe qu'après avoir baissé jusqu'en 1995, la fécondité a légèrement réaugmenté depuis dans une majorité de pays", observent-ils."Dans l'ensemble des pays de l'OCDE, elle est passée en moyenne de 1,69 enfant (par femme) en 1995 à 1,71 en 2008", un "rebond particulièrement marqué en Espagne, France, Belgique, Royaume-Uni et Irlande".
Pour comprendre cette remontée, les chercheurs ont examiné les relations entre les taux de fécondité et richesse, et observé "une augmentation de la fécondité lorsque le niveau économique progresse, à partir d';un PIB par tête d'environ 30.000 dollars".
Mais ce lien ne marche pas pour tous les pays, les pays scandinaves et anglo-saxons, ainsi que de la France? ayant par exemple "une fécondité bien plus élevée que celle attendue au vu de leur PIB".
"Les différences de PIB par tête ne suffisent donc pas à expliquer les écarts de fécondité d'un pays à l'autre", en déduisent les démographes.
Ils ont donc choisi d’examiner précisément le taux d’emploi des femmes.
"Dans la plupart des pays les plus riches, la remontée de la fécondité est associée à un taux d'emploi élevé chez les femmes", constatent-ils.
En particulier, "la possibilité pour elles de concilier travail et famille apparaît comme un facteur clé du rebond de la fécondité".
Ainsi, si "aux stades relativement précoces de développement" économique d’un pays, les femmes peuvent repousser la maternité car elles font de plus en plus d’études (faisant ainsi baisser la fécondité), "arrive un moment où si la femme travaille, le revenu additionnel qu'elle apporte au ménage sécurise sa situation économique et rend le surcoût lié à l'arrivée d'un enfant supplémentaire supportable", explique l’étude, qui évoque aussi "l'aide éventuellement fournie par l'État s'il existe une politique familiale". (AFP)

mercredi 21 septembre 2011

Un coeur, cela se protège !

A partir du 26 septembre, la Semaine du Coeur 2011 démarrera sa 32ème édition. Cette nouvelle édition portera sur le thème de l´infarctus du myocarde. Au cours de cette semaine, des activités variées auront lieu dans plusieurs hôpitaux et centres cardiologiques de Belgique. Le site www.infoinfarctus.be vous fournira des conseils et des informations utiles sur la vie avant, pendant et après l´infarctus. Vous pouvez également cons...ulter notre site - www.liguecardiologique.be -pour plus d´informations sur les différents événements qui auront lieu pendant la Semaine du Coeur (26/09 au 02/10). La journée mondiale du coeur se tiendra quant à elle, le jeudi 29 septembre.

 

Les femmes se brossent plus les dents que les hommes

Les femmes sont proportionnellement plus nombreuses que les hommes à se brosser les dents au moins deux fois par jour . Le pourcentage le plus élevé de personnes qui se brossent les dents au moins deux fois par jour se situe dans le groupe d’âge 25-34 ans. Ensuite, ce pourcentage diminue progressivement avec l’âge.
Les femmes portent aussi plus fréquemment une prothèse dentaire que les hommes. La proportion de personnes qui portent une prothèse dentaire augmente évidemment fortement avec l’âge. Cependant, on compte déjà 13,2% de personnes portant une prothèse dentaire parmi les personnes âgées de 35 à 44 ans. (sources: isp.be)


Par ailleurs, selon une enquête scientifique sur l’hygiène buccale menée en Belgique à la demande de Signal, seuls 44% des Belges se lavent les dents au moins deux fois par jour. Les résultats des femmes (51%) sont considérablement plus élevés que ceux des hommes (37%). Cette enquête révèle même que 2,5% de la population belge ne se lavent jamais les dents.
Tout le monde sait qu’il est très important de se laver les dents avant d’aller dormir. Pourtant, seul un Belge sur deux met ce conseil en pratique. 11% de la population se brossent les dents immédiatement après le repas du soir et pas moins de 39% ne se brossent les dents ni après le souper, ni avant d’aller se coucher.
Malgré ces résultats préoccupants, les parents semblent plus exigeants envers leurs enfants qu’envers eux-mêmes : 50% des enfants se brossent les dents deux fois par jour. Ce pourcentage augmente au fur et à mesure que les enfants grandissent, bien que le chiffre de 56% pour les enfants de 9 à 10 ans soit encore largement insuffisant.(source: unilever.be)

mardi 20 septembre 2011

IVG : un médicament dangereux vendu sur le net !

La Belgique enregistre ± 17 000 avortements officielspar année (pour 120 000 naissances). Ce chiffre (très en dessous de la réalité pour diverses raisons de non déclaration) est un des plus faibles parmi les pays européens. Les bonnes conditions dans lesquelles lavortement y est pratiqué ne doivent pas faire oublier quau niveau mondial, lavortement constitue la 1re cause de mortalité et de morbidité des femmes jeunes. Un problème de santé publique majeur. Les centres extra-hospitaliers pratiquent actuellement 75 % des interruptions de grossesse en Belgique. Du côté francophone, ces centres sont également des plannings familiaux.


 

Les autorités sanitaires ont mis en garde contre "les risques graves pour la santé" d'un produit vendu sur internet, MTP KIT, présenté comme un médicament pour l'IVG (interruption volontaire de grossesse). "Il s'agit d'un médicament illicite qui ne dispose d'aucune autorisation de mise sur le marché (AMM), ni d'autorisation d'importation sur le territoire français", ont indiqué la Direction générale de la Santé (DGS) et l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), dans un communiqué. Ce produit de la société CIPLA Limited est notamment vendu sur le site Eurodrugstore.eu sous la rubrique "birth control". "Les modalités d'emploi, notamment le mode d'administration du produit, exposent la femme qui l'utiliserait à un réel danger (échec de l'avortement, hémorragie, infection grave)", ont souligné la DGS et l'Afssaps.
En outre, les contrôles réalisés par les laboratoires de l'Afssaps ont montré que "sa composition est inadaptée".
Le kit est composé de mifépristone (ou RU 486) administré par voie orale et de misoprostol administré par voie vaginale.
Ce document donne également des indications aux mineures souhaitant avoir accès à l'IVG dans des conditions d'anonymat et de gratuité.
Par ailleurs, une information sur la contraception est disponible sur le site choisirsacontraception.fr.



lundi 19 septembre 2011

Allergie chez l'enfant: les aliments de la maman en question


Des chercheurs on France ont identifié un lien potentiel entre les aliments consommés par les femmes pendant leur grossesse et le risque d'allergies chez les enfants. Les résultats, publiés dans la revue The Journal of Physiology, montrent que si le régime de la future maman contient un groupe spécifique d'acides gras polyinsaturés (PUFA, de l'anglais polyunsaturated fatty acids), dont ceux que l'on trouve dans le poisson, l'huile de noix ou de lin, l'intestin du bébé se développera différemment. Les scientifiques pensent que les PUFA pourraient améliorer la réponse des cellules immunes de l'intestin aux bactéries et aux substances étrangères. Ceci pourrait par ailleurs atténuer le risque pour un bébé de développer des allergies. (source: cordis.europa.eu)

D'anciennes études ont montré que les compléments d'huile de poisson et de noix chez les femmes enceintes réduisaient le risque d'allergie chez les enfants. Cependant une pièce manquait au puzzle: le mécanisme à l'origine de cette connexion.

Dans cette étude, les chercheurs montrent que lorsque le régime alimentaire d'une femme enceinte est complété par des n-3PUFA, l'intestin du nouveau-né sera plus perméable. Dans ce cas, le flux sanguin de l'enfant sera plus facile d'accès aux bactéries et aux substances étrangères. Ces nouvelles substances déclenchent la réponse d'un bébé et mènent à la production d'anticorps.
«On constate un grand intérêt dans la recherche sur le régime alimentaire des femmes pendant la grossesse», explique le Dr Gaëlle Boudry de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) en France. «Dans le régime des Occidentaux, le groupe d'acides gras polyinsaturés qui aident à la fonction intestinale disparaît peu à peu; en effet, notre consommation d'huiles de poisson et d'oléagineux est remplacée par des huiles de maïs qui contiennent une autre sorte d'acide gras», ajoute-t-elle.

«Notre étude identifie un certain groupe d'acides gras polyinsaturés, les n-3PUFA, qui provoque un changement dans le développement de l'intestin du bébé, ce qui pourrait changer la façon dont le système immunitaire de l'intestin se développe. Ces changements pourraient probablement réduire le risque de développer des allergies plus tard.»

«Au final, le système immunitaire du bébé se développera et arrivera à maturité plus rapidement, ce qui engendrera une meilleure fonction immune et réduira les probabilités de développer des allergies.»

Ces derniers résultats viennent renforcer des études antérieures qui montraient qu'une consommation de n-3PUFA pendant la grossesse intensifie la durée de la grossesse et la maturation du système nerveux central d'un bébé. Les données montrent aussi que les bébés ont une meilleure performance dans des tâches mentales.

«D'autres études ont montré qu'un régime contenant de l'huile de poisson ou des oléagineux pendant la grossesse rendra votre bébé plus intelligent», explique le Dr Boudry. «Notre recherche vient confirmer cela et suggère que des compléments peuvent aussi accélérer le développement d'un système immunitaire sain pour éviter les allergies alimentaires.»

Les chercheurs prévoient de poursuivre leur étude en évaluant les effets apparents sur la stimulation de la fonction intestinale de n-3PUFA qu'ils ont découvert chez les nouveaux-nés et juger s'ils sont aussi actifs quand ils grandissent. (Source: The Journal of Physiology: http://jp.physoc.org/ )

samedi 17 septembre 2011

Les agricultrices moins malades que les autres !

Les agriculteurs ont une plus grande espérance de vie que la population générale, avec 27% de moins de risques de décéder de maladie chez les hommes et 25% de moins chez les femmes, selon les premiers résultats de l'étude Agrican sur la santé en milieu agricole.
Cette enquête, rendue publique lors d'un colloque vendredi à Tours, a été proposée à partir de 2005 aux affiliés de la Mutualité sociale agricole, retraités ou actifs, des 12 départements disposant d'un registre de cancers. Plus de 180.000 personnes ont répondu au questionnaire.
"A ce stade de l'enquête on est sur la mortalité par cancer parce qu'on n'a pas encore les données sur l'incidence" de la maladie, qui seront disponibles "normalement dans un an", a expliqué lors d?une conférence de presse à Tours Pierre Le Bailly, épidémiologiste qui a supervisé l'étude.


Pour les cancers, les chiffres sont respectivement de -27% chez les hommes et -19% chez les femmes par rapport à la population générale.
Les décès par mélanome malin de la peau sont un peu plus fréquents (+1% pour les hommes, +6% pour les femmes). Chez les femmes, les décès par cancer de l'oesophage (+8%), de l'estomac (+5%), du sang (+2%) sont plus fréquents.

Les agriculteurs meurent aussi moins de troubles mentaux, de maladies de l'appareil digestif comme cirrhose ou ulcère, de diabète, de maladies du système nerveux comme Alzheimer et Parkinson...
8,7% des hommes ont déclaré une intoxication à un pesticide, et 5,1% des femmes. Près de la moitié de ces intoxications ont entraîné une consultation chez un professionnel de santé.
Ces résultats sont très préliminaires : ce n'est que l'an prochain que seront publiées les analyses sur les incidences de cancer, en fonction des facteurs professionnels et de l'utilisation de pesticides. (afp)

iPhone: l'hygiène de vie en Weekmate



Les utilisateurs d'iPhone peuvent désormais bénéficier d'un nouveau programme entièrement dédié à l'hygiène de vie. Baptisée "Weekmate", cette application ludique permet à chacun de surveiller son comportement au quotidien pour le plus grand bénéfice de sa santé, notamment en matière de sommeil, de poids, d'activité physique, et de consommation d'alcool et de tabac. "Weekmate" est disponible sur l'AppStore à 2,99€.




Pour profiter de "Weekmate" de façon optimale, les utilisateurs d'iPhone sont invités à entrer chaque jour toutes les données relatives à leur poids, leurs heures de sommeil, leur pratique sportive ou leur consommation d'alcool et de tabac.
Grâce à la diffusion d'un score journalier, calculé en fonction des recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ou de l'Institut de veille sanitaire (InVS), les utilisateurs peuvent suivre l'évolution de leur hygiène de vie et profiter des encouragements de la "Weekmate pomme".
L'application est d'ores et déjà disponible sur l'AppStore

vendredi 16 septembre 2011

Santé: trois belges honorées !

Hier soir, trois jeunes femmes belges ont été honorées par les bourses belges L’Oréal - UNESCO « For Women in Science » devant un parterre de scientifiques. Leur travail pourrait déboucher, à terme, sur des évolutions en matière de santé. Ces trois femmes se sont penchées sur le psoriasis, la colite ulcéreuse et le VIH.


La cérémonie placée sous le signe de la science et des femmes a attribué, sous les auspices du F.R.S - FNRS et du FWO, trois bourses d’un montant de 30.000 euros par an pendant deux ans. Elles vont permettre à ces scientifiques prometteuses (deux flamandes, une wallonne) de débuter leur thèse de doctorat.

Les Bourses doctorales belges L’Oréal-UNESCO sont décernées tous les deux ans,
alternativement dans les domaines des Sciences de la Vie et des Sciences de la Matière.
L’Oréal Belgilux, l’UNESCO et le Jury 2011 pour les Sciences de la Vie présidé par le Professeur Christine Van Broeckhoven dévoilent les nouveaux visages de la science :

Leen Boesmans (K.U. Leuven) espère pouvoir apporter une véritable contribution à la découverte du mécanisme déclencheur de la colite ulcéreuse. Et de garder l’espoir de guérir un jour de cette maladie éprouvante!
Perrine Cochez (UCL) souhaite approfondir la connaissance de l’inflammation qui entraine l’apparition du psoriasis. Pour espérer un jour enfin guérir les patients, chaque pas en direction de la compréhension du psoriasis compte.
Leen Mathys (K.U. Leuven) se donne comme défi de trouver de nouvelles stratégies pour empêcher la réplication du virus VIH. Ce dernier ayant développé des résistances aux rétroviraux existants, le défi reste de taille.

Grossesse tardive: les risques (vidéo)

En Belgique, actuellement, plus de 20% des femmes présentent une grossesse à risque: soit parce qu'elles ont moins de 16 ans ou plus de 40 ans.   (vidéo: ce que voit un foetus) A travers le monde, elles sont de plus en plus nombreuses à enfanter dans la trentaine avancée, voire dans la quarantaine. Au Canada, près d'un bébé sur cinq naît d'une mère âgée de 35 ans et plus. Or, ces femmes courent significativement plus de risque de complications durant leur grossesse et leur accouchement. Qui plus est, certaines de ces complications peuvent nuire à la santé de leur nouveau-né. (source: ledevoir.com)

La fertilité des hommes n'est pas épargnée non plus. Elle déclinerait progressivement à partir de 25 ans et les chercheurs estiment que deux années seraient nécessaires en moyenne pour permettre à un homme de 40 ans d'enclencher avec succès le processus reproductif et ce, même si la mère s'avère beaucoup plus jeune que lui.


Une étude menée par des chercheurs de l'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS), qui se sont penchés sur plus d'un million de naissances en milieu hospitalier de 2006-2007 à 2008-2009, confirme et précise ces risques. Cette vaste étude a en effet montré que les femmes âgées de 35 ans ou plus sont deux fois plus à risque que celles de 20 à 34 ans de souffrir de diabète gestationnel, un diabète qui entraîne «des taux élevés de glycémie susceptibles d'affecter la croissance du bébé, lequel peut devenir plus gros que la normale. [...] Les enfants de mères diabétiques durant leur grossesse ont plus de risques de développer eux-mêmes un diabète», précise le Dr Robert Sabbah, le président de l'Association des obstétriciens gynécologues du Québec.

L'étude précise que le risque de diabète gestationnel triple carrément chez les femmes de 40 ans et plus, dont une sur huit développe la maladie durant sa grossesse. «Plusieurs facteurs, tels que la génétique, la diète, l'exercice et le poids de la mère, contribuent au diabète gestationnel [qui est un peu plus fréquent au Québec qu'ailleurs au Canada]», ajoute le Dr Sabbah.

D'autres risques

Les femmes de 35 ans et plus sont également deux fois plus susceptibles que celles de 20 à 34 ans de développer un placenta dans la partie inférieure de l'utérus — une anomalie dénommée placenta praevia qui a pour conséquence de bloquer partiellement ou entièrement l'ouverture du col de l'utérus et qui oblige de procéder à une césarienne. Bien que plus marginale, cette complication est trois fois plus fréquente chez les quarantenaires (1 sur 65 en est atteinte) que chez leurs cadettes de moins de 35 ans.

Plus les femmes sont âgées, plus elles sont nombreuses à subir une césarienne. En fait, plus de la moitié (53 %) des femmes qui donnent naissance à leur premier bébé dans la quarantaine ont subi une césarienne. Le taux de césarienne chez les femmes de 35 ans et plus était 44 % plus élevé que celui des mères de 20 à 34 ans. Or, «les accouchements par césarienne sont plus susceptibles de complications — d'hémorragie et d'infection — qu'un accouchement naturel étant donné qu'il s'agit d'une chirurgie sous anesthésie. Subsiste aussi une cicatrice sur l'utérus qui peut entraîner des risques lors des grossesses subséquentes, telle une rupture utérine qui peut survenir lorsque la femme désire accoucher naturellement», fait savoir le Dr Sabbah.

Lors des accouchements vaginaux, le recours aux forceps ou à une ventouse est également plus fréquent chez les femmes âgées de 35 ans et plus dont il s'agit de la première grossesse. L'est aussi le taux de décollement prématuré du placenta qui, chez les femmes de 40 ans ou plus, est plus élevé dans une proportion de 60 % comparativement à celui des femmes de 20 à 34 ans vivant leur première maternité.

Les grossesses tardives accroissent par ailleurs le risque de naissances prématurées (avant la 37e semaine) et de bébés de petit poids. La fréquence des anomalies congénitales et chromosomiques (syndrome de Down, par exemple) augmente aussi avec l'âge de la procréation. Mais heureusement, la plupart de ces anomalies peuvent être dépistées avant la naissance.

La publication des résultats de cette étude de l'ICIS ne vise surtout pas à alarmer les femmes plus âgées qui désirent avoir un enfant, souligne le Dr Sabbah. «Elle ne vise absolument pas à inciter [les couples] à avoir des enfants s'ils ne sont pas prêts. Mais nous espérons les sensibiliser au fait que plus ils attendent, plus les risques augmentent et que s'ils décident d'avoir un enfant beaucoup plus tardivement, la femme devra consulter tôt afin d'être suivie adéquatement par un médecin qui devrait parvenir à dépister les problèmes qui peuvent survenir», déclare le spécialiste tout en rappelant que de nombreuses femmes âgées de 35 ans et plus accouchent sans problème d'un poupon en bonne santé. (source: ledevoir.com)

jeudi 15 septembre 2011

Pierre aux reins: un peu de prévention (voir la vidéo)

Pour une raison que l’on ignore encore, les calculs rénaux, plus communément appelés « pierres aux reins », touchent trois fois plus d’hommes que de femmes. (voir la vidéo)
Un calcul rénal est un calcul dur se formant dans le rein par la cristallisation de substances contenues dans l'urine. Généralement, l'urine contient des substances chimiques inhibant la formation de cristaux. Ce processus ne fonctionne pas parfaitement chez tout le monde. La plupart de ces petits cristaux sont évacués par l'organisme dans lequel ils passent inaperçus et sont facilement éliminés par le système urinaire. Cependant, les cristaux restant dans le corps risquent de se cristalliser et, par conséquent, de former un calcul rénal. (source: storzmedical.ch)

Les calculs rénaux peuvent être de compositions chimiques différentes. La majorité des calculs sont composés de calcium en combinaison avec des oxalates ou des phosphates. Ces substances font partie de notre alimentation quotidienne et sont souvent présentes dans notre corps (os etc.).
Qui est touché par les calculs rénaux ?
Le nombre croissant de personnes souffrant de calculs rénaux aux Etats-Unis ces 20 dernières années reste encore inexpliqué. Les calculs rénaux surviennent beaucoup plus souvent chez les Américains blancs que chez les Américains noirs et sont plus fréquents chez les hommes que chez les femmes. Les cas sont plus fréquents chez les 20 - 40 ans. Le taux de récidive est important.

Quels sont les symptômes ?
Généralement, le premier signe de la présence d'un calcul rénal est une forte douleur qui se manifeste soudainement dû aux blocages et irritations provoqués par le mouvement du calcul. La douleur typique est une douleur intense et convulsive dans le dos, sur le côté dans la région rénale ou dans l'abdomen inférieur. Les symptômes associés sont des nausées et des vomissements. Plus tard, la douleur peut se propager dans la région inguinale.
Au cas où le calcul est trop important pour être évacué sans problèmes, la douleur subsiste, parce que l'uretère essaye de transporter le calcul dans la vessie par des mouvements musculaires. Le mouvement du calcul peut également provoquer des petites hémorragies se manifestant par la coloration de l'urine. Lorsque le calcul s'approche de la vessie, le patient peut avoir un besoin fréquent d'uriner et une sensation de brûlure lorsqu'il urine.

Des manifestations associées telles que de la fièvre ou des frissons peuvent indiquer la présence d'une infection des voies urinaires. Les personnes qui ont des antécédents familiaux de calculs rénaux ou qui ont déjà eu plusieurs calculs rénaux sont plus susceptibles d'en souffrir. Le premier pas pour éviter la formation de toute sorte de calculs est l'apport quotidien abondant en liquide, préférablement en eau.
Les aliments comprenants de l'oxalate
Les personnes à risque en terme de formation de calculs d'oxalate de calcium peuvent être conseillées par leur médecin de réduire leur consommation des aliments suivants:
  • la betterave
  • le chocolat
  • le café
  • le coca
  • les noix
  • la rhubarbe
  • les épinards
  • les fraises
  • le thé
  • le son de blé
Il n'est pas recommandé d'éliminer ces aliments de l'alimentation sans instruction explicite du médecin. Dans la plupart des cas il suffit d'en limiter la consommation.

mercredi 14 septembre 2011

Bébés secoués: la vidéo et les conseils pour l'éviter !

De 25 à 30 enfants sont victimes du syndrome du bébé secoué pour 120.000 naissances en Belgique. (Voir vidéo)

Pour éviter que les pleurs incessants de bébé ne conduisent à l'irréparable, la Haute Autorité de Santé (HAS) veut sensibiliser le grand public au syndrome du bébé secoué et aider les médecins à repérer cette forme mal connue de maltraitance.

"C'est typiquement un geste incontrôlé de colère", a expliqué le Dr Cédric Grouchka (HAS), mardi au cours d'une conférence de presse. Mais c'est aussi "une véritable maltraitance", dont la gravité n'est pas suffisamment perçue dans l'inconscient collectif.
Au moins 200 syndromes de bébé secoué se produiraient chaque année en France, un chiffre "fortement sous-estimé", selon la HAS. Parmi eux, 10 à 40% en meurent, les autres conservant des séquelles à vie: difficultés d'apprentissage, épilepsie, troubles visuels, paralysie...
Dans la majorité des cas, il s'agit de bébés de moins de 6 mois, plus souvent des garçons. L'adulte responsable -le plus souvent un homme, semble-t-il- peut être un parent ou toute autre personne amenée à garder l'enfant (beau-parent, nourrice, baby-sitter...).
L'objectif des recommandations de la HAS est double: fournir aux médecins un "guide pratique" pour mieux repérer ce syndrome, l'enjeu majeur étant d'éviter le risque de récidives (qui se produisent dans plus de la moitié des cas).

Mais il s'agit aussi de faire de la prévention, en incitant les professionnels de santé à informer systématiquement tous les parents au moment de la naissance sur la gravité de ce geste et sur les moyens de l'éviter.
Ne pas laisser un bébé une seule seconde sans surveillance sur une table à langer est devenu un réflexe pour éviter qu'il ne tombe. De la même façon, il faut savoir qu'un bébé peut pleurer beaucoup et longtemps et "savoir dire stop, faire une pause avant d'être à bout", a expliqué le Dr Grouchka.
"Il ne faut pas hésiter à se mettre à l'écart", en appelant quelqu'un à la rescousse lorsqu'on est énervé ou épuisé. Quand on est seul avec lui, et que les tentatives habituelles pour faire cesser ses pleurs (le changer, le tenir contre soi...) ont échoué, le bon réflexe est de coucher le bébé dans son lit, sur le dos, et de s'isoler pour se calmer. Se protéger soi pour protéger l'enfant de tout geste inconsidéré.
Les recommandations de la HAS comportent aussi un volet plus technique, une grille de critères qui permet d'aider les médecins à poser le diagnostic et à en tirer les conséquences.
Le syndrome du bébé secoué est ainsi "hautement probable, voire certain", en cas de lésions intracrâniennes associées à des hémorragies rétiniennes (présentes dans au moins 80% des cas) et à une "histoire" rapportée par l'entourage incohérente ou absente.
"On note souvent un délai" entre le début des signes et la consultation, a relevé le Dr Mireille Nathanson, pédiatre spécialiste des questions de maltraitance.
"Au moindre soupçon, l'hospitalisation est obligatoire pour protéger le bébé", a-t-elle souligné.
Se pose ensuite la question du signalement aux autorités. "Il ne s'agit pas de dénoncer des personnes, mais une situation de danger pour l'enfant", a relevé Mme Fabienne Quiriau (Convention nationale des associations de protection de l'enfant).
Tous les milieux socio-économiques et culturels peuvent être concernés.
En revanche, les spécialistes sont formels: le syndrome du bébé secoué "n'est pas dû à un jeu". Balancer un bébé dans un transat, même énergiquement, ne peut pas occasionner ce type de lésions. De même, "il n'y a pas de danger à faire l'avion ou lancer en l'air un enfant d'un an", a indiqué le Dr Nathanson.
"Le jeu n'est pas responsable des lésions de secouement. Il faut continuer à jouer avec les enfants", a-t-elle assuré.

Les femmes japonaises en meilleure santé

Près des deux tiers des décès dans le monde sont causés par des maladies non-transmissibles (MNT), telles que les maladies cardiaques, selon un rapport publié mercredi par l'OMS (Organisation mondiale de la santé).
"Les maladies non-transmissibles sont le meurtrier numéro 1 dans le monde", a déclaré Douglas Bettcher, un des responsables de l'OMS, en charge de la lutte contre le tabagisme, en présentant le rapport à la presse.
Selon ce rapport, ces maladies sont responsables de 36 millions de décès par an, soit 63% de l'ensemble des décès dans le monde. Sur ces 36 millions de décès, neuf millions avaient moins de 60 ans.
Dans la famille des maladies non-transmissibles, les maladies cardiovasculaires sont les plus dangereuses, car elles représentent 48% des décès dûs à une MNT. Les cancers représentent 21% des décès, les maladies respiratoires 12% et le diabète 3%.
Les principaux facteurs des MNT sont l'alcool, le manque d'exercice physique, une mauvaise alimentation, et le tabac, a déclaré M. Bettcher.
Bien qu'associées en principe aux pays développés, les MNT se développent dans les pays pauvres. Selon M. Bettcher, le taux de mortalité dû à des MNT a progressé le plus fortement dans ces pays.
L'OMS relève aussi que des enfants de condition modeste consomment toujours plus d'aliments ou des boissons sucrées, mauvaises pour la santé.
En outre, l'OMS relève que lorsque les MNT augmentent de 10% dans un pays, le produit intérieur brut de celui-ci baisse de 0,5%.
Selon des chiffres de l'OMS, les femmes japonaises sont les moins sujettes à à des MNT, avec un taux de mortalité de 178 pour 100.000 par an.
Pour les hommes, le taux de mortalité le plus faible dû à des MNT se situe dans le micro-état de Saint-Marin, avec 308 décès pour 100.000 par an.

Les causes des décès des femmes

 Alors qu'un peu plus de 100.000 personnes meurent chaque année en Belgique, dont une grande majorité (93,7%) de mort naturelle, 6,3% succombent à une mort non naturelle.

Le pourcentage le plus élevé de décès dus à des causes non naturelles est enregistré en Région wallonne (7,4%) et le plus faible en Région flamande (5,5%), tandis que la Région bruxelloise se situe entre les deux, avec un taux de 6,9%. C'est ce qu'indiquent des données publiées mardi par la Direction générale Statistique du SPF Economie. Par mort non naturelle, il faut comprendre les suicides, accidents de la route, chutes, noyades, abus de drogues, meurtres et décès dans des incendies ou des explosions par exemple.

Jusqu'au groupe d'âge entre 75 et 79 ans, il décède davantage d'hommes que de femmes. Ensuite, entre 80 à 84 ans, c'est l'inverse. La différence entre les sexes est la plus faible entre 10 et 14 ans et la plus élevée entre 20 et 24 ans.

Chez les hommes, le cancer est la principale cause de décès (31%), suivi par les maladies cardiovasculaires (30%) et les maladies du système respiratoire (12%). Viennent ensuite les causes externes (suicides, accidents de la circulation...) qui représentent 8% des causes de décès chez les hommes et les maladies du système digestif (4%). Les femmes meurent le plus souvent de maladies cardiovasculaires (36%), de cancer (23%) et de maladies du système respiratoire (10%).

Les causes externes et les maladies du système digestif représentent toutes deux 5% des causes de décès chez les femmes.

mardi 13 septembre 2011

Stop à l'acide dans les seins !

L'acide hyaluronique, produit de comblement injectable, ne pourra plus être utilisé pour augmenter le volume des seins, en alternative à la pose de prothèses mammaires, a décidé l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). (Vidéo)
Une décision de police sanitaire exclut en France l'indication d'"augmentation mammaire à visée esthétique" pour les produits injectables de comblement, "par mesure de précaution et malgré l'absence à ce jour de risque caractérisé".
Le gel d'acide hyaluronique injectable Macrolane (QMED) est le seul produit concerné en France, l'utilisation de silicone liquide injectable ayant déjà été interdite en 2000, a précisé l'Afssaps lundi dans un point d'information.
La décision est motivée par les résultats préliminaires d'une étude clinique autorisée en 2008 "qui ont mis en évidence des risques de perturbation des clichés d'imagerie et de difficultés de palpation des seins lors d'examens cliniques". "Or ces examens sont nécessaires au dépistage et au diagnostic du cancer du sein", a souligné l'Afssaps.
"Aucun événement indésirable grave n'a été mis en évidence au cours de ces trois dernières années d'utilisation, en France comme en Europe", a cependant ajouté l'Afssaps. Environ 2.500 personnes l'ont utilisé en France pour une augmentation mammaire.
Ce gel est lentement résorbable et peut donc être éliminé par le corps. A contrario, la procédure implique des ré-interventions périodiques pour maintenir la durée d'effet du gel (de 18 mois à deux ans selon le fabricant).
Les risques de perturbation des clichés et examens sont susceptibles de se reproduire à chaque nouvelle injection. Ils ne sont en revanche pas rencontrés lors de l'implantation de prothèse mammaires, selon l'Afssaps.
Les femmes ayant eu recours à une augmentation mammaire par injection de produit "ne sont pas sujettes à un suivi médical particulier autre que celui prévu par leur praticien", a précisé l'Afssaps. Toutefois, il est important, en cas de réalisation d'une mammographie, d'une échographie ou d'une IRM des seins, de mentionner l'injection au radiologue, en précisant la date.
L'Afssaps a par ailleurs souligné que cette décision de police sanitaire "ne remet pas en question" les autres indications des produits injectables (visage, fesses, mollets, comblement des rides).

Interrogé, le Dr Jean-François Emeri, chirurgien plasticien officiant en Suisse, dénonce l'utilisation de grands volumes de cet acide qu'il considère - dans le cadre d'une augmentation mammaire - comme potentiellement dangereux: «Contrairement à la France, la Suisse se montre particulièrement permissive en ce qui concerne les produits synthétiques de comblement. Des cas de décès par embolisation de ce produit à la suite d'injections dans les fesses ont déjà été constatés». (Source: essentiel.lu)

lundi 12 septembre 2011

La Semaine anti-stress lancée en Wallonie

A Namur, la ministre wallonne de la santé, Eliane Tillieux, prépare sa rentrée. Dans le Journal du Médecin, elle annonce qu'elle lance la semaine anti-stress !
« Le stress est l’effet négatif sur la santé mentale le plus répandu. Il peut être positif ou négatif. C’est une question de perception avant tout. Cette semaine se déroulera du 10 AU 14 octobre 2011 et est destinée au grand public et aux professionnels de la santé et de la relation d’aide. ».
C’est quoi le stress ?
« Une définition du stress qui semble faire l’unanimité est la suivante : « la façon menaçante dont la personne perçoit l’évènement et la signification que l’individu donne aux éléments de l’environnement ».


Qu’est-ce que les médecins vont apprendre de nouveau ?
« Deux conférences marqueront cette semaine. Des spécialistes belges et québécois aussi interviendront durant celles-ci. On peut citer le Dr Corten (clinique du stress Brugmann), le Dr Firket (clinique du stress Liège ISoSL) et en qualité d’experte québécoise notamment, la présence du Docteure Sonia Lupien, imminente spécialiste qui proposera un exposé intitulé : « stress, travail et performance ». Enfin, un évènement grand public est fixé le mercredi 12 octobre, à travers une flashmob à Namur dès 12h30, suivie d’une séance de rire.»