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lundi 3 octobre 2011

Les femmes aiment la santé et font moins faillite !

Les femmes seraient de bien meilleures dirigeantes que leurs époux. C'est du moins ce que tente de montrer une étude réalisée par l'agence Manageo. (source: lepoint.fr)
Les TPE et les PME dirigées par des femmes connaîtraient, en effet, trois fois moins de défaillances que lorsque ce sont les hommes qui sont aux commandes. "Les résultats sont très frappants, constate Patrice Ceccaldi, P-DG de Manageo. Une nouvelle fois, les idées reçues sont battues en brèche. Il y a quelque temps, on apprenait que les assureurs automobiles avaient tendance à faire davantage confiance aux femmes. Aujourd'hui, c'est au tour des entreprises de se rendre compte que pour un partenaire économique, un client ou un fournisseur, la gouvernance féminine est bien plus rassurante."

Et pour cause. Même si la proportion de femmes P-DG dans les TPE (très petites entreprises) n'est encore que de 27 %, elles ne représentent que 21,9 % des ouvertures de procédure collective, c'est-à-dire des redressements et liquidations judiciaires. Contre 78,1 % pour les hommes. "Même si l'on peut regretter que le mouvement de féminisation ne soit pas plus rapide à la tête des entreprises, souligne Patrice Ceccaldi, il l'est quand même bien plus dans les petites que dans les grandes sociétés. L'évolution sociétale est donc en marche."
Autre révélation de l'enquête, le classement des secteurs de prédilection des femmes à la tête des petites et moyennes entreprises. En tête, on trouve sans surprise les métiers de la santé et de la coiffure. Mais, contre toute attente, c'est l'agriculture, l'élevage et la culture de la vigne qui arrivent en deuxième position. (source: lepoint.fr)

Le magazine français, Capital, avait déjà soulevé cette question:
La faillite de Lehman Brothers en 2008 se
serait-elle produite si la banque s’était appelée Lehman Sisters ?», s’interrogeait sur son blog Rosabeth Moss Kanter, l’une des profs les plus influentes de Harvard. Les chercheurs de l’université de Cambridge, en Angleterre, ont la réponse : c’est non.


En 2009, l’une de leurs études établissait une corrélation entre le taux de testostérone des traders et leur propension à prendre des risques. En clair, l’hormone mâle doperait l’esprit de compétition. Et diminuerait la peur de l’échec, au point d’entraîner, chez les pros de la Bourse, des prises de position particulièrement risquées.
Bien moins soumises à l’action de cette substance, les femmes seraient plus résistantes que les hommes au frisson de la spéculation. «Par prudence, j’ai toujours étalé les ventes de valeurs, témoigne ainsi Solène Irion, analyste financière qui a travaillé comme trader à la Bred pendant dix-huit mois. Je vendais d’abord 40% de la position, puis éventuellement les 60% restants au cours de la journée, en fonction de l’évolution des cours.»
Une attitude avisée, mais moins lucrative. En 2009, un sondage d’Equality and Human Rights sur les rémunérations à la City montrait que les bonus des femmes étaient inférieurs de 80% à ceux des hommes. Plus audacieux, ces messieurs génèrent donc davantage de profits… mais aussi plus de pertes quand 
les choses tournent mal. (source: capital.fr)

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