Une étude canadienne conteste l'efficacité des vaccins contre le cancer du col de l'utérus, et pointe du doigt le risque d'effets secondaires graves, affirme mardi le quotidien Le Soir.
Celui-ci rappelle que 26.000 jeunes filles inscrites en deuxième année du secondaire en Wallonie et à Bruxelles se sont vu proposer la vaccination contre certaines souches du virus HPV responsable de 70% des cancers du col de l'utérus.
D'après Le Soir, deux chercheurs canadiens de l'université de Colombie britannique, à Vancouver s'étonnent du postulat d'innocuité des vaccins délivrés par les agences gouvernementales.
Ils constatent, sur base d'une centaine d'études que "la liste des effets secondaires graves liés à la vaccination anti-HPV, dans le monde, inclut des décès, des convulsions, des paresthésies, des paralysies, des syndromes de Guillain-baré, des myélites transverses, des paralysies faciales, ...et des cancers du col de l'utérus.
Plutôt qu'une vaccination de masse, ils suggèrent de cibler les femmes exposées aux facteurs de risque de ce type de cancer (tabagisme, usage de contraceptifs oraux, les inflammations chroniques, et d'intensifier le dépistage par frottis.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire