Un peu de légerté après ces nombreux sujets santé très sérieux. Je vous le dis tout de suite, cette enquête qui n'a pas eu lieu en Europe...souligne que chez les femmes, sexe et pouvoir ne feraient pas bon ménage. Reste à voir ce qu'en pensent les Européennes....et les Européens !
A en croire une récente étude de l’université John Hopkins à Baltimore, publiée par Slate, les femmes dites « dominantes » dans la vie ne font pas des relations sexuelles avec leur partenaire une priorité. Contrairement aux hommes qui peuvent souvent profiter de leur position dominante pour mener une vie sexuelle débridée.
Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont interrogé plusieurs milliers de femmes dans six pays africains (Ghana, Mali, Rwanda, Uganda, Malawi et Zimbabwe) sur la date de leur dernier rapport sexuel et sur la place qu'elles occupent au sein du foyer.
Prend-elle les décisions ? Gère-t-elle les comptes ? En clair, qui de l'homme ou de la femme a le dernier mot au sein du couple ? Et le résultat est sans appel, les femmes qui « portent la culotte » ont jusqu'à 100 fois moins de relations sexuelles avec leur conjoint. « Plus le nombre de décisions que la femme déclare avoir pris est grand, en comparaison du nombre de décisions prises avec le conjoint, moins elle a de relations sexuelles et plus sa dernière relation sexuelle remonte loin dans le temps » explique Michelle Hindin qui a dirigé cette étude. (source: francesoir.fr)
La plupart du temps, cette rareté des rapports sexuels est voulue poursuit l'enquêtrice. Les femmes concernées auraient en effet tendance à emmener leur côté dominateur dans la chambre à coucher. Non pas pour soumettre physiquement leur maris mais pour véritablement décider de la vie sexuelle qu'elle veulent mener, dans les conditions qui leur plaira. Dans les pays concernés, prendre les décisions dans la vie serait ainsi le meilleur garant de ses droits sexuels. Reste maintenant à savoir si le phénomène est similaire à d'autres pays où de plus en plus de femmes occupent des postes à responsabilité dans le monde du travail
Par ailleurs, une autre enquête montre que l'amour serait comme un déclic pour une nouvelle vie. Oser envoyer tout valser par amour. Tels pourrait être les leitmotivs des 37% de Français qui affirment être prêts « à tout plaquer pour vivre une histoire d'amour» selon le sondage Opinion Way pour Meetic.fr, révélé mardi par Le Parisien. Les 18-24 ans sont les plus motivés puisqu'ils sont 55 % à se dire prêts à tout laisser. Mais ils ne sont plus que 37% passé le cap des 35 ans. La psychanalyste Sophie Cadalen explique que «les jeunes sont à peine entrés dans la vie adulte. Pour eux, tout est encore permis». Les plus âgés, responsables, prennent en compte tout ce qu'ils ont à perdre. D'où l'«aspect sacrificiel» que souligne Sophie Cadalen : «Recommencer tout à zéro nécessite des frais et des investissements.»
Femme et homme, même tendance au romantisme ? Pas tant que cela si l'on se fie toujours à ce sondage. Plus de 4 femmes sur 10 sont prêtes à se jeter dans l'inconnu contre 32% des hommes.
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