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mardi 6 septembre 2011

Les filles apaisent les garçons !

Lise Eliot, diplômée de Harvard et docteur de l’université Columbia, est peut-être la première scientifique à enfin expliquer pourquoi et comment apparaissent les différences entre les garçons et les filles au lieu de supposer qu’elles sont des faits biologiques intangibles. Dans son livre, "cerveau rose, cerveau bleu" qui parait aujourd'hui, l’auteur a réuni les meilleurs travaux scientifiques sur le sujet, qui scrutent les gènes ou les hormones, données importantes qui façonnent les individus. (source: cerveau rose sur rtl.be)

De nombreuses études ont montré que dès le plus jeune âge, les garçons, très facilement excitables, auront moins de problèmes de comportement s’ils passent du temps avec les filles. Même dans l’enseignement supérieur, des enseignants ont remarqué que le simple fait d’asseoir des garçons et des filles côte à côte avait un effet très positif sur l’attention et la qualité de travail des garçons. Ainsi les filles tempèrent les garçons et les garçons ont un effet énergisant sur les filles.

En outre, les bébés filles devancent les garçons par le nombre de gestes qu'elles produisent. En moyenne, elles commencent quelques semaines avant eux à pointer du doigt, à saluer de la main et à lever les bras vers les adultes pour être soulevées.

Apprenez à jouer de la musique, au tennis ou aux échecs, et les zones neuronales qui y aident se développeront ! Forte de cette connaissance nouvelle, Lise Eliot montre comment de minuscules différences observables entre garçons et filles à la naissance peuvent s’amplifier au fil du temps et tout particulièrement sous l’influence des parents, des enseignants, des pairs, et du système culturel au sens large. Ces derniers renforçant involontairement les stéréotypes sociaux sur l’identité sexuelle. Les enfants eux-mêmes peuvent d’ailleurs exacerber ces différences à leur manière : ils activent à répétition les circuits cérébraux du « jeter la balle » ou du « jouer à la poupée » ! (source: rtl.be)

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