En 2010, l'Institut pour l'égalité entre les femmes et les hommes, l'organisme fédéral compétent pour traiter les discriminations liées au sexe, ont enregistré, via son numéro vert gratuit (0800-12.800), 448 appels téléphoniques. (source: le soir.be)
Au total, 221 dossiers ont été ouverts : 130 plaintes et 91 demandes d'information. Ceux-ci portent en priorité sur l'emploi (99 dossiers), l'offre de biens et services (28), la sécurité sociale (14), l'enseignement et la formation (11)… Dans la majorité des cas, l'Institut a entamé une procédure de conciliation, mais il a également été en justice. « Mais ces plaintes ne sont que la partie visible de l'iceberg », insiste le directeur de l'Institut, Michel Pasteel.
Un cinquième de ces plaintes enregistrées en 2010 (42 dossiers) concerne spécifiquement des discriminations liées à la maternité. Des travailleuses écartées à l'embauche, privées d'une promotion ou licenciée parce qu'elles étaient enceintes.
Là encore, les chiffres de l'IEFH ne sont qu'un reflet partiel de la réalité. En effet, en 2010, ce même organisme avait réalisé une étude scientifique démontrant, notamment qu'une femme enceinte sur deux avait déjà rencontré des problèmes sur son lieu de travail à cause de sa grossesse (recrutement, évolution de carrière, conditions de travail, harcèlement…). Des employeurs qui enfreignent la loi belge sur le travail de 1971 et la loi anti-discrimination de 2007, ainsi que plusieurs dispositions européennes.
Un cinquième de ces plaintes enregistrées en 2010 (42 dossiers) concerne spécifiquement des discriminations liées à la maternité. Des travailleuses écartées à l'embauche, privées d'une promotion ou licenciée parce qu'elles étaient enceintes.
Là encore, les chiffres de l'IEFH ne sont qu'un reflet partiel de la réalité. En effet, en 2010, ce même organisme avait réalisé une étude scientifique démontrant, notamment qu'une femme enceinte sur deux avait déjà rencontré des problèmes sur son lieu de travail à cause de sa grossesse (recrutement, évolution de carrière, conditions de travail, harcèlement…). Des employeurs qui enfreignent la loi belge sur le travail de 1971 et la loi anti-discrimination de 2007, ainsi que plusieurs dispositions européennes.
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