Alors qu'un peu plus de 100.000 personnes meurent chaque année en Belgique, dont une grande majorité (93,7%) de mort naturelle, 6,3% succombent à une mort non naturelle.
Le pourcentage le plus élevé de décès dus à des causes non naturelles est enregistré en Région wallonne (7,4%) et le plus faible en Région flamande (5,5%), tandis que la Région bruxelloise se situe entre les deux, avec un taux de 6,9%. C'est ce qu'indiquent des données publiées mardi par la Direction générale Statistique du SPF Economie. Par mort non naturelle, il faut comprendre les suicides, accidents de la route, chutes, noyades, abus de drogues, meurtres et décès dans des incendies ou des explosions par exemple.
Le pourcentage le plus élevé de décès dus à des causes non naturelles est enregistré en Région wallonne (7,4%) et le plus faible en Région flamande (5,5%), tandis que la Région bruxelloise se situe entre les deux, avec un taux de 6,9%. C'est ce qu'indiquent des données publiées mardi par la Direction générale Statistique du SPF Economie. Par mort non naturelle, il faut comprendre les suicides, accidents de la route, chutes, noyades, abus de drogues, meurtres et décès dans des incendies ou des explosions par exemple.
Chez les hommes, le cancer est la principale cause de décès (31%), suivi par les maladies cardiovasculaires (30%) et les maladies du système respiratoire (12%). Viennent ensuite les causes externes (suicides, accidents de la circulation...) qui représentent 8% des causes de décès chez les hommes et les maladies du système digestif (4%). Les femmes meurent le plus souvent de maladies cardiovasculaires (36%), de cancer (23%) et de maladies du système respiratoire (10%).
Les causes externes et les maladies du système digestif représentent toutes deux 5% des causes de décès chez les femmes.
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