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lundi 5 septembre 2011

Aspartame : prudence pour les femmes enceintes


En Belgique, des enquêtes sont en cours sur les habitudes des consommateurs adultes belges qui prennent de l'Aspartame. Pour rappel, de récentes études semblaient montrer que les adultes qui consomment régulièrement des produits contenant de l'aspartame ingèrent au maximum 5% de la dose journalière admissible.  (source: crioc)

En France, le député-médecin PS Gérard Bapt (Haute-Garonne) ,  dans l’attente en 2012 des résultats de la nouvelle étude de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) sur l’aspartame, estime que « des précautions de consommation s’imposent ». Selon lui, « il apparaît urgent que les consommateurs soient mis en garde et notamment la femme enceinte ». Le député réclame par ailleurs la « mise en œuvre sans délai » d’une campagne d’information vers les milieux professionnels concernés par la maternité, la petite enfance et la nutrition, annoncée par le précédent directeur général de la Santé, Didier Houssin. (source: quotidien du médecin)




Le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, a indiqué dimanche avoir demandé à l'Anses, l'agence nationale de sécurité sanitaire, une "réponse précise" sur les éventuelles difficultés que poserait l'aspartame après une mise en garde récente d'un député PS. "J'ai demandé à l'Anses, qui est l'agence qui s'occupe de ces questions d'alimentation, de santé et d'environnement, de nous faire une réponse précise: "Est-ce que oui ou non l'aspartame pose des difficultés?", a-t-il indiqué au micro du Grand rendez-vous Europe 1/i-Télé/Aujourd'hui en France. "Si c'est le cas il faudra que, au niveau européen, on prenne des mesures draconiennes, soit de meilleures informations ou de meilleures précautions", a-t-il ajouté.

Pour rappel, l'aspartame est l'un des édulcorants les plus consommés, notamment chez les femmes enceintes.


"Il faut qu'on ait des études sérieuses pour en avoir le coeur net", a admis dimanche Xavier Bertrand, précisant avoir demandé à l'Anses de "réunir un groupe de travail sur cette question dès le mois de septembre". Le ministre a toutefois justifié le bien-fondé d'une taxation des boissons sucrées: "La question, c'est la question de la lutte contre l'obésité." La taxation des boissons à sucres ajoutés, annoncée dans le plan visant à réduire la dette de la France, doit entrer en vigueur début 2012 et rapporter 120 millions d'euros à l'Etat. (source: tf1.fr)

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