Comment les femmes voient-elles aujourd'hui l'alimentation ? Une enquête menée dans cinq pays européens apporte des réponses entre tradition et modernité…(source: l'indépendant.fr)
Plus de 5 000 Françaises, de 2 000 Italiennes, de 1 000 Espagnoles, de 1 000 Allemandes et un peu moins de 200 femmes britanniques ont répondu à l'enquête menée en 2011. Globalement, elles témoignent d'un comportement "européen", tel que le décrivent les sociologues de l'alimentation Claude Fischler.
Pour plus de la moitié d'entre elles, manger est un plaisir et non pas une "prise de tête". A la différence des attitudes angoissées, hantées par la santé et le souci du bon choix, que l'on observe dans le monde anglo-saxon. Si manger reste un acte joyeux, l'inquiétude s'introduit quand même à travers l'obsession du poids et le culte de l'image minceur. Pour 32 % des Européennes, manger est lié au souci de ne pas grossir.
La peur de grossir est plus importante que la préoccupation santé.
On ne s'étonnera pas que les Européennes manifestent de l'intérêt pour la nutrition. 87 % d'entre elles se considèrent bien informées. Quant à leurs sources d'information, Internet vient en tête dans 75 % des cas.
Devant le diététicien ou le médecin nutritionniste. Mais sans trop d'illusion toutefois : les informations glanées sur Internet ne sont pas forcément reconnues comme les plus fiables.
Une femme sur trois, au total, estime qu'elle mange bien, en conformité avec les standards nutritionnels. Les deux autres pensent qu'elles pourraient mieux faire. Au total, 43 % d'entre elles ont déjà consulté un diététicien ou un nutritionniste.
La cuisine maison reste attractive en Europe, même si les modes de vie ont évolué : trois femmes sur quatre disent qu'elles en feraient une priorité si elles avaient plus de temps. Elles continuent à lui accorder une grande importance, mais les modes de transmission et d'information ont changé.
90 % des femmes portent attention à la composition des aliments et 80 % à leur provenance. 70 % pensent aussi que l'alimentation était mieux avant...(source: l'indépendant.fr)
Plus de 5 000 Françaises, de 2 000 Italiennes, de 1 000 Espagnoles, de 1 000 Allemandes et un peu moins de 200 femmes britanniques ont répondu à l'enquête menée en 2011. Globalement, elles témoignent d'un comportement "européen", tel que le décrivent les sociologues de l'alimentation Claude Fischler.
Pour plus de la moitié d'entre elles, manger est un plaisir et non pas une "prise de tête". A la différence des attitudes angoissées, hantées par la santé et le souci du bon choix, que l'on observe dans le monde anglo-saxon. Si manger reste un acte joyeux, l'inquiétude s'introduit quand même à travers l'obsession du poids et le culte de l'image minceur. Pour 32 % des Européennes, manger est lié au souci de ne pas grossir.
La peur de grossir est plus importante que la préoccupation santé.
On ne s'étonnera pas que les Européennes manifestent de l'intérêt pour la nutrition. 87 % d'entre elles se considèrent bien informées. Quant à leurs sources d'information, Internet vient en tête dans 75 % des cas.
Devant le diététicien ou le médecin nutritionniste. Mais sans trop d'illusion toutefois : les informations glanées sur Internet ne sont pas forcément reconnues comme les plus fiables.
Une femme sur trois, au total, estime qu'elle mange bien, en conformité avec les standards nutritionnels. Les deux autres pensent qu'elles pourraient mieux faire. Au total, 43 % d'entre elles ont déjà consulté un diététicien ou un nutritionniste.
La cuisine maison reste attractive en Europe, même si les modes de vie ont évolué : trois femmes sur quatre disent qu'elles en feraient une priorité si elles avaient plus de temps. Elles continuent à lui accorder une grande importance, mais les modes de transmission et d'information ont changé.
90 % des femmes portent attention à la composition des aliments et 80 % à leur provenance. 70 % pensent aussi que l'alimentation était mieux avant...(source: l'indépendant.fr)
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