Il s'agit donc d'une technique fiable, non-invasive et précoce (avant l'échographie de fin du 1er trimestre de grossesse). Elle permet de gagner quelques précieuses semaines, et dans certains cas, d'éviter le recours à l'amniocentèse, dont le risque de provoquer des fausses-couches est faible mais réel.
En effet, comme l’explique les chercheurs sur le site d'Europe 1 : « Le recours à l'analyse du sang maternel pour déterminer sans danger et avec une très grande fiabilité le sexe du foetus, réduirait le nombre des pertes du foetus résultant de l'amniocentèse et devrait être bien accueilli par les femmes enceintes portant des foetus présentant un risque d'anomalies génétiques liées au sexe »
D’autre part, cette technique serait plus fiable que l’échographie, révélatrice du sexe de Bébé seulement à partir de la onzième semaine de grossesse.
Déjà utilisée dans certaines cliniques françaises, hollandaises, anglaises et espagnoles, cette méthode n’a jamais été officiellement reconnue. La technique sera peut-être prochainement le futur b.a.ba des maternités...
Source : (http://www.europe1.fr/)
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